bonjour
et merci de ces réponses! le problème se repose à la parution de la nouvelle ISO publiée dans «distrowatch», surtout qu'actuellement, je n'ai que SliTaz avec noyau 64 bit (mais applications toutes 32 bits) d'installé, et ce n'est pas suffisant: pas de skype, les réémissions des émétteurs français d'information ne fonctionnent pas (mais tout le reste si, l'internet serait ok dans 3 navigateurs qui ne sont pas réputés pour l'être, à savoir TazWeb, propre développement de SliTaz, sur la base de Webkit 1!, Midori 4.x, si la même base, n'a pas de contrôle orthographique, et Xombrero, le navigateur haute sécurité multi-tab se faisant passer pour Firefox, mais basé aussi sur webkit 1, et ayant le contrôle orthographique via hunspell). mais Wine ne marche pas (nécessaire pour mon matériel pharmaceutique personnel de santé, c'est tout le dilemme de Linux, dès que cela devient sérieux, on est aux abonnés absents).
j'ai un viei ordinateur (laptop) cassé, c'est pourquoi il me fut refilé cadeau... très puissant (i7 8 Go RAM DD 3/4 To, écran haute résolution, son plutôt bon) mais
- accumulateur inutilisable (fonctionne relativement bien sur secteur)
- prises USB partiellement détruites (par ce qui dépassait et était enfiché dedans au moment des chocs des jeunes anciens propriétaires)
- lecteur de DVD difficilement utilisable encore pour simples CD, pour un DVD il y a trop d'interruptions de lecture et de redémarrage
imprimante fonctionne via le réseau
idem scanner
prise réseau filiiaire en très bonne état, prise réseau directement sur le bureau
donc, en vase clos, une puissante installation qui fonctionne très bien mis à part que l'UEFI avait été effacé et le disque reformaté DOS (ce qui fonctionne, mais pas aussi bien).
c'est un vieil ordinateur de récupération, mais, en vase clos, actuellement en acceptant SliTaz et ses restrictions, ou des Puppy Linux en mode frugal, vraiment de qualité supérieure.
dois-je le jeter (*1 parce que les distributions modernes ne s'adaptent pas aux niveaux des installations sur de vieux matériels?
je ne pensais pas qu'une distro comme EMMABUNTÜS partait du principe que les gens humbles devaient tous avoir du matériel quasi neuf!
je peux installer Debian facilement (debootstrap) et Ubuntu encore plus facilement car micro ISO
ce micro ISO qui se laisse démarrer en mode frugal comme un Puppy Linux:
-télécharger dans un nouveau répertoire /mnt/sda1/Zubuntu avec Puppy Linux,
-cliquer dessus dans Puppy Linux, l'ISO se trouve automatiquement disséqué,
-copier coller tous les fichiers de proposés dans le répertoire virtuel créé par Xarchive, l'application d'archivage/desarchivage graphique de Puppy dans ce nouveau répertoire /mnt/sda1/Zubuntu
- rajouter 4 lignes dans grub.cfg ou menu.lst
- redémarrer
- choisir la (nouvelle) ligne correspondant au démarrage live du micro ISO d'installation d'Ubuntu
- et vaillamment installer, quoi!
c'est ainsi que démarrent les Debiandog et Ubuntudog (qui ne sont pas des Puppy Linux mais de vrais Debian live "retaillés" sur le modèle et la mixture offerte généralement par Puppy Linux, même choix d'applications standard, donc, partiellement très, bas niveau, mais, pour Ubuntudog's, c'est de l'Ubuntu live pratiquement, hum, standard!)
problème: la mixture de telles installations est souvent insatisfaisante. les installations bien pensées d'autres distributeurs (par ex. MINT, cela explique son succès réel, ou KULIAX 6, de l'union des universités indonésiennes à l'époque, taillée vraiment sur mesure pour des activités de bon / haut niveau, mais dont l'ISO faisait, encore à l'époque, moins de 710 Mo, Kuliax 7 dépassa cette limite et ce fut la disparition de cette distro, sans doute à cause de ça. KULIAX 6 permettait en live une utilisation presque sans lourdeur. l'installation en 32 bit rendait possible soit d'installer la version KULIAX, soit à 100 % du vrai Debian avec la palette d'applications KULIAX répondant vraiment aux besoins d'universitaires, pour des travaux de haut niveau et très sérieux, tels que le veut, on le sent aussi EMMABUNTÜS, mais là, pas forcément pour des universitaires. Et comme Debian, on le voit bien, on pouvait tout franciser sans restriction et installer tout ce qu'offre Debian. Autre exemple Debris Linux, une petite distro germano-helvétique d'Ubuntu, avec, elle aussi, un vraie installation Ubuntu si on quittait le mode live et installait en pleine installation sur le disque dur, mais une mixture d'applications encore plus légère que Puppy Linux, plutôt genre SliTaz. D'ailleur, son éfigie initiale, sous un autre nom de distro, BEATRIX, avait été celle d'un chaton, pas d'un chiot...)
avec Debian, le démarrage analogue du mini-ISO, bien possible, conduit à des restriction d'écriture et de reconnaissance du lecteur de DVD/CD et à la confiscation des droits d'installer. avec Ubuntu, utilisant «casper» et non «live» (ou l'inverse, je ne sais plus par cœur!), ce n'est pas le cas... mais si on agit à la légère, oui, je l'ai fait, la version d'Ubuntu, oh terreur, n'est pas du long terme!
on n'y pense jamais, mais passé (de longs mois, mais pas vraiment des années) la date d'expiration, si on a un nouveau besoin, fini, il faut réinstaller.
quand on a un volume d'installation prédéfini comme dans EMMABUNTÜS, et copieux, cela peut être simple (je ne sais pas! je n'ai jamais réussi la pleine installation de EMMABUNTÜS! Y-a-t-il une mise à jour automatisée aux changement de version et pourrait-on même sauter une version, car mettre à jour cause toujours, sous Linux, une appréhension justifiée: et si après rien ne marchait plus bien comme avant? C'est souvent le cas sous Linux! On nous supprime des paquets, pensons aux dérivés basés sur XULRUNNER
notamment aux dérivés moins connus parce que développé par des développeurs francophones (ayant moins d'audience au niveau universel, c'est la triste réalité) tels que INSTANTBIRD ou kompoZer (ou, mais ce n'est plus xulrunner), QEMU dont la dégringolade par rapport à VIRTUALBOX est vertigineuse), ou xulrunner lui même comme langage et environnement de programmation face à GTK, QT, et donc GNOME ou KDE. Des auteurs francophones ont écrit pour xulrunner et au moins un très gros ouvrage fut publié (en français seulement) en vrai beau livre imprimé sur papier.
Tant qu'on en reste à l'ancienne version tout marche dans ce que les anglophones appellent des "goodies". Mais à un certain moment, inévitable de remettre à jour et de sauter une, voir si c'est le pur Ubuntu, deux ou trois parutions (si elles n'étaient pas LTS et mènent automatiquement et instantanément aux mêmes effets pervers d'obsoléité car déjà presqu'en fin du laps de longévité - et pour Ubuntu, pas de collection de CD's pour tenter de revenir en arrière!): Pas de systemd, changement radical de lib C et incompatibilité alors totale mais de modules qui n'ont rien à voir avec du développement pointu, mais vraiment rien du tout (par exemple "didiwiki", prôné par Puppy Linux comme wiki personnel avec de très gros avantages: page isolées comme document au format texte, hypercompacte, illustrations parfaitement possibles en mode graphique, en mode texte seulement avant l'installation du mode graphique, permet de faire dans "links" ou "links2", qui fonctionnent tous deux, avec la restriction toutefois de la partie illustrations, dans un Linux encore seulement en console, puisque "cups" aussi se laisse installer en console seule, tout comme sambar, d'ailleurs, beaucoup ne le savent pas! Dans links avec didiwiki, on peut faire de beaux textes avec des soulignés, caractères gras, italiques, centrés (je crois, à vérifier) et liens réseaux, sans avoir encore installé le système graphique! et ça dans 170 ko pour links et 70 ko pour didiwiki (cups, lui, prend beaucoup plus! mais si Samba présent, on peut déjà véhiculer par le réseau les documents au format texte de didiwiki!).
voila mes explications!
(*1 réparer? hum, avec mon fort syndrome du canal carpien, j'ai deux mains gauches désormais, ma vue n'est pas bonne, un œil se trouble, je n'ai plus de fer à souder micro, et ne sais quelles sont les limites quand à leur isolation, des fers à souder, et, pire, je ne sais comment "ouvrir", ne serait-ce que pour dépoussiérer, le boîtier du laptop, n'ayant reçu la moindre doc! je l'ai depuis 5..6 ans. c'est un DELL mais pas aussi simple en manipulation hardware que mes anciens PC's DELL, du genre book-PC, avec Celeron / Pentium, j'en ai eu plusieurs, que l'on pouvait ouvrir sans outillage du tout et accéder à tout... si on fusillait une carte, on aurait pu facilement la remplacer, d'autant que j'ai eu plusieurs cadavres de ce type de book-PC (mais je doute de l'intercompatiblité réelle interne: les chips d'INTEL, chez DELL cela semble être la norme, semblaient tous différents, et les cartes intérieures aussi. Seuls les DD sur chariot étaient facilment interchangeables...)